La carte bancaire : moyen de paiement préféré des européens

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Le chèque n’est plus le moyen de paiement plébiscité par les consommateurs, car la carte bancaire est désormais en première position. Les Français sont 94 % à l’utiliser et ce constat est valable pour d’autres pays d’Europe.

La carte bancaire est le mode de paiement préféré

En Pologne, en Italie, en Allemagne et en France, un baromètre sur les moyens de paiement a été réalisé par une filiale de la Banque Verte. La carte bancaire est donc largement plébiscitée, car selon cette enquête, elle est choisie par 88 % des sondés.

Ces derniers estiment qu’il s’agit d’une méthode moderne et sécurisée. A l’échelle européenne, ils sont 72 % à l’utiliser, mais le pourcentage est encore plus fort pour le sol français puisqu’il atteint 94 %.

La carte bancaire a donc eu la possibilité au fil des années de dépasser les chèques ou encore les espèces.

Les espèces sont plébiscitées en Allemagne

Ce constat devrait se renforcer davantage dans les prochaines années puisque les cartes sont désormais liées au paiement sans contact grâce à une puce NFC.

Les Polonais sont 69 % à l’utiliser notamment pour les achats dans le domaine de l’alimentation. Toutefois, ce mode doit encore faire ses preuves pour augmenter sa visibilité, car les Français ont tendance à être réticents, mais ils sont toutefois curieux.

Les espèces ont également été au cœur de ce sondage et les billets sont encore plébiscités notamment par les moins de 25 ans qui sont 34 % à les préférer à d’autres concepts.

Le chèque fait de la résistance en France

Les Allemands sont les plus attachés à cette méthode de paiement puisque les espèces sont plébiscitées par 94 % des sondés contre 54 % pour l’Italie et 26 % à l’échelle européenne.

En ce qui concerne les chèques, les commerces sont de plus en plus nombreux à émettre des conditions et notamment des plafonds.

Malgré les différentes contraintes, ils représentaient 14 % des paiements effectués en France au cours de l’année dernière. En parallèle, 64 % des Français ne veulent pas qu’ils soient supprimés contre 34 % à l’échelle européenne.

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